Je suis en 2 GT et je ne sais pas quelles spécialités choisir
La seconde est essentielle. C’est une année de réflexion. Pas d’examen, de longues vacances d’été… C’est une année idéale pour se projeter et apprendre à être autonome. Pour autant, certaines élèves se perdent du fait du stress de cette entrée dans le bain lycéen. Calendriers, choix à faire pour les options de première et de terminale, flot d’informations sans précédent….
De plus, l’organisation du lycée et l’examen du bac général ont été réformés. Les changements sont assez conséquents et commencent dès la seconde : les lycéens choisissent des enseignements de spécialité au lieu d’une série, une part de contrôle continu est prise en compte pour le baccalauréat et de nouvelles épreuves font leur apparition.
Pour les élèves qui s’orientent vers la voie générale, se pose en outre la question du choix des trois enseignements de spécialité (en classe de première), puis deux parmi ces trois (en classe terminale). Les élèves entrant dans l’une des filières technologiques n’ont pas à résoudre ce problème.
Alors que ces décisions sont pourtant importantes, un jeune sur deux n’est pas satisfait de l’accompagnement de son établissement scolaire au sujet de l’orientation (contre 47 % de satisfaits). Pourtant, la réforme des lycées qui avait été engagée par Jean-Michel Blanquer plaçait l’orientation au centre des missions de l’établissement scolaire, et pour cela désignait clairement l’ensemble des professeurs (et pas uniquement les professeurs principaux) comme acteurs majeurs de la mise en œuvre de ce qu’il est convenu d’appeler « l’accompagnement à l’orientation », tout en rappelant que désormais « l’orientation est l’affaire de tous ».
Or, il faut bien prendre acte du fait qu’une importante partie des professeurs sont plus ou moins fortement réservés, voire opposés à une telle évolution, estimant ne pas avoir été préparés à une telle tâche ou même pour certains, qu’elle ne ferait pas partie de leurs obligations de service. Positionnés comme interlocuteurs privilégiés, les enseignants sont pourtant très peu, voire pas du tout formés à l’éducation à l’orientation (Cour des comptes, 2012 ; Sénat, 2016). Leur information ne tient donc qu’à leur propre initiative.
A l’heure où les parcours scolaires se spécialisent (choix des filières pour le baccalauréat, prérequis pour l’entrée dans l’enseignement supérieur) il est pourtant de plus en plus attendu de l’élève qu’il soit en capacité de construire un projet professionnel qui servira de fil rouge à son orientation.
C’est pourquoi les coachings d’orientation scolaire ODIEP sont là pour aider les étudiants à mieux identifier leurs goûts, motivations personnelles et centres d’intérêts pour que les trois années lycéennes se passent de la meilleure des façons. Pour choisir la voie la plus adaptée à ses souhaits et à son profil, le coach d’orientation scolaire est là pour cerner les envies de l’élève. ODIEP aide les élèves à fonder leurs décisions d’orientation sur une vision des filières qui ne soit ni parcellaire, par exemple limitée aux parcours connus des univers familiaux, ni idéalisée.
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