Bilan d'orientation reprise d'étude
La plateforme Parcoursup a accueilli de très nombreux candidats s’inscrivant dans une démarche de reprise d’études. Parmi les 125 092 candidats qui ne sont ni lycéens préparant un baccalauréat français ni étudiants en réorientation, 109 224 candidats en reprise d’études ont confirmé un ou plusieurs vœux. Cela traduit une demande particulièrement forte d’accès à l’enseignement supérieur de la part d’un public nouveau, qui témoigne de l’attractivité des formations du supérieur et appelle des réponses spécifiques.
Les évolutions économiques et technologiques ont rendu caduques les analyses prospectives censées prédire les besoins du marché du travail. 85 % des métiers « du futur » (2030) n’existeraient pas encore (Institute for the future, 2017).
La plateforme Parcoursup a accueilli de très nombreux candidats s’inscrivant dans une démarche de reprise d’études. Parmi les 125 092 candidats qui ne sont ni lycéens préparant un baccalauréat français ni étudiants en réorientation, 109 224 candidats en reprise d’études ont confirmé un ou plusieurs vœux. Cela traduit une demande particulièrement forte d’accès à l’enseignement supérieur de la part d’un public nouveau, qui témoigne de l’attractivité des formations du supérieur et appelle des réponses spécifiques.
Les évolutions économiques et technologiques ont rendu caduques les analyses prospectives censées prédire les besoins du marché du travail. 85 % des métiers « du futur » (2030) n’existeraient pas encore (Institute for the future, 2017). Le modèle où une qualification professionnelle assure un métier n’est donc plus valable. Aux savoirs, savoir-faire et savoir être, doit désormais s’ajouter le « savoir évoluer », dans le monde professionnel notamment. Désormais, une personne en reprise d’étude doit acquérir des compétences pour s’adapter aux évolutions économiques rapides.
En France les résultats de l’enquête PIAAC (OCDE, 2014) montrent que:
- 35,1 % des salariés français font un métier pour lesquels ils n’ont pas de qualification adéquate ;
- 23,4 % des salariés exercent un métier pour lequel un niveau de qualification plus élevé est normalement exigé, autrement dit, ils sont sous-qualifiés pour ce métier ;
- 11,7 % exercent un métier qui requiert un niveau de qualification inférieur. En d’autres termes, ils sont surqualifiés.
Le changement et les incertitudes ne sont pas uniquement au niveau des emplois. Ils sont également au niveau des compétences nécessaires. La demande, par les entreprises, de compétences moins avancées donc pouvant être remplacées par la technologie, diminue. Parallèlement, la demande de compétences cognitives avancées, de compétences socio-comportementales et de combinaisons de compétences associées à une plus grande adaptabilité augmente.
De nombreuses études montrent que les employeurs attendent de leurs futurs employés qu’ils aient des compétences transversales y compris la capacité de communiquer efficacement, de travailler en collaboration et avec souplesse, d’apprendre rapidement au travail, de prendre des décisions autonomes et de résoudre des problèmes, ainsi que des compétences plus complexes à évaluer : la capacité à travailler en groupe ou en équipe, à savoir utiliser les « codes sociaux », à se conformer aux règles de l’entreprise, à faire preuve de créativité, à gérer et résoudre des incidents et à savoir s’adapter à des aléas, des situations d’urgence, etc.
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Bilan orientation "Reprise d'études"
Se basant sur ce constat, le bilan reprise d’étude peut être une ressource-clé dans de nombreux cas. Il s’appuiera sur :
- un bilan de compétence professionnel prenant en compte les « softs skills » demandés par les entreprises.
- La connaissance des itinéraires de formation
- La connaissance des métiers
Grâce à de nombreux tests psychométriques, des questionnaires d’intérêts et notre propre documentation compilée depuis 1978, l’objectif principal est de créer un projet d’études réaliste qui convient aux motivations, à la personnalité de la personne désirant reprendre ses études.